7 mars 2008
Un samedi chargé
Oh combien chargé...
C'est un tour rapide, au pas de course, mais extrêmement fructueux. Je trouve des idées de bricolage : les boucles d'oreilles en crochet, je retiens, il va falloir que j'apprenne le crochet, ça me fait une motivation supplémentaire. Et je treouve une magnifique robe vintage des années 50, avec des perles brodées main, c'est sublime. Des photos à l'appui (pas dans l'ordre chronologique).
Je suis ravie de mon achat ! On mange au marché, sur le pouce (on the thumb, en anglais) et on fait un tour dans les jolies rues de Paddington...
C'est bien, des maisons avec jardin en pleine ville... Et des jolis magasins, on a trouvé le Vanessa Bruno de Sydney ! Mais ils ont la saison de l'automne dernier, pas intéressant. On fait quand même les boutiques, qui ont souvent des patios, en plus. C'est charmant.
Jean prend des idées de déco pour son nouvel appartement. Les théières accrochées au mur, pourquoi pas. Mais encore faudrait-il avoir un patio, ou à défaut une terrasse, pour le moins, et à Paris, ça va pas êetre facile...
On ne se refait pas... Quelques petites photos posées, on obéit aux instructions du photographe.
Et puis on continue la promenade, encore des photos... mais avec Karine et moi dessus, alors c'est forcément très intéressant.
Jean prend encore des idées de déco dans un magasin où il achète un beau t-shirt (polo ? chemise ?). Des zigouigouis autour d'un porte-manteau, c'est très joli. Et des idées pour le travail, aussi, on lui dit ce qu'on veut voir dans les magasins en matière de maille...
Et voilà... C'est fini pour Paddington... On a fait de bons achats, sans trop se ruiner, on est contents !
Et on prend le bus, notre bus préféré, le 333, qui va à Bondi en express. Surfeur dans le bus, avec sa planche, le quotidien, quoi.
Parce que l'après-midi, on a déjà tout planifié, on veut faire la Coastal Walk ! C'est pas le grand soleil, mais bon, il faudra faire avec.
On marche d'un pas décidé. Et comme Karine n'est pas là pour m'aider à choisir les photos, je vous les met toutes ! Je ne sais pas choisir, c'est trop dur. Et je suis à la maison, alors qu'il fait beau, pour travailler et faire le blog pendant qu'Olivier et Karine vont s'amuser. Je suis triste. Maais hier, ils m'ont rapporté un cadeau, trop gentils. Je vous le montrerai très vite.
Remarquez comme on marche du même pas. N'est-ce pas fantastique ? On s'arrête tout de même de temps en temps, pour regarder le paysage... et à Tamarama, on s'arrête même un peu longtemps pour regarder les volleyeurs. Désolée, pas de photo, on était trop occupés à dévorer les joueurs du regard. Ils se débrouillaient bien, en plus, les bougres !
On s'arrête un peu à Bronte, on aime bien cette plage.
On peut même faire un tour de petit train, si c'est pas merveilleux !
Encore du surf... et des individus bizarres. Très bizarres. Ça fait peur.
Allez, c'est presque fini... On traverse le cimetière, encore en travaux, et on arrive à Coogee. La micro-île s'appelle "wedding cake"... On ignore pourquoi, c'est quand même une drôle d'idée.
C'est un peu moins joli que sous le grand soleil, mais c'est pas mal quand même. Ça fait du bien de se promener.
On rentre à la maison, en bus, parce qu'on est un peu fainéants. Karine sort tout de suite dîner en ville. Jean et moi, on est plus sages. Jean travaille un peu... enfin, il sélectionne sur le itunes de Karine les chansons qu'il veut copier.
On grignote... Un pizza qu'on a commandée ? Possible, je ne sais plus, ça fait trop longtemps, j'aurais dû prendre des notes. Et on se fait beaux pour sortir. On va dans un club, cette fois, les videurs ne pourront trouver aucun prétexte pour me bloquer l'entrée, je suis superbe. Et Jean n'est pas mal non plus.
On est tout fiers. On file, en voiture, s'il vous plaît, grande maîtrise, dans le quartier de Kings Cross, on se gare avec quelques difficultés, mais pas trop, et on arrive chez Hugo. The place to be, à ce qu'on nous dit. Soit. Si on le dit. Petit bar en terrasse couverte...
Ambiance... Il y a aussi une boîte dans ce bar... On doit y aller, j'ai promis à Karine. Ça ne m'emballe guère. Surtout qu'on doit danser sur de la moquette, quelle drôle d'idée. Mais je ne regrette rien, Jean est un danseur fabuleux.
On en jette... parce que les autres ne sont pas aussi chic que nous. On ne rentre pas tard, on est très sages. On laisse Karine danser jusqu'au bout de la nuit. Les vieux vont se coucher, ils se sont bien amusés. Une dernière photo à l'appui...
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