Encore des animaux
Direction Paramatta, on a déjà tout repéré le chemin lorsqu'on est allés aux Blue Mountains.
On est contents avant même d'entrer. On va pouvoir toucher les animaux, selon la brochure ! A l'entrée, ils nous donnent un petit passeport qu'on peut tamponner à l'intérieur... Je vous le montrerai une prochaine fois, je l'ai gardé, mais pas pris en photo.
Evidemment, on fonce à l'enclos des wombats, nos chouchous. (Hibou, chou, genou, mais pas chouchou, hein ?)
Ça commence bien ! Mais hop, il file se cacher dans son terrier...
Tant pis... On est contents, contents, contents, on mitraille et donc cette page sera essentiellement compose de photos, il faut que je bosse, je suis à la bourre. A la bourre pour le blog, à la bourre pour mon boulot. Quelle vie, c'est pas des vacances. Loin de là.
Les kangourous se disent des secrets et ont visiblement des choses à cacher, on va les voir de plus près. Approche prudente...
Puis on s'enhardit...
J'y vais moi aussi, et je cause à la bête. Allez, dis-nous tous tes secrets. Il veut pas.
Je te tiens, tu me tiens, par la barbichette... J'ai vraiment cru gagner avec la tête d'enterrement que je faisais...
Mais j'ai perdu, j'ai trouvé mon maître. Une petite mise en abyme...
Et on va voir d'autres bêtes, mais on y reviendra, il y en a partout, des kangourous.
Des gros oiseaux...
Mais on est quand même venus aussi pour les koalas !
Et on peut même les toucher, c'est la fête !
Et moi aussi, j'y vais, pas rancunière...
Parce que j'ai failli me faire arracher le bras par une jeunette toute folle, qui m'a pris pour un arbre. Ou une (belle) plante. Elle m'a labouré le bras et failli me détruire mon beau gilet en cachemire. Je l'ai donc prise dans mes bras pour ne pas hurler, et je me suis fait engueuler par une gardienne. Quand elle a compris ce qui se passait, elle n'a plus rien dit.
Le diable de Tasmanie, spéciale dédicace Olivier qui ne lit même pas le blog, il me l'a avoué, il est maintenant avec nous à Auckland...
Des oiseaux étranges...
Une cigogne à cou bleu et une pas chouette qui ressemble à un crapaud. Frogmouth, elle s'appelle, d'ailleurs. On retourne voir les kangourous...
Kangourous albinos dépressifs, kangourou anorexique... ils sont pas très en forme. Alors que bon, les albinos auraient de quoi se réjouir, leur espérance de vie dans un parc est bien meilleure que dans la nature, tout blancs, ils attirent les prédateurs, c'est moins facile de se cacher dans le bush.
Des echidnés !
Ils s'agitent dans tous les sens, ils ont pas eu leur dose de schnouf, certainement. Va-t-on les nourrir ? On attend un peu, en vain. On voit d'autres animaux bizarres...
Encore une devinette : quel animal Jean imite-t-il ? Le gagnant a un cadeau. Un dernier tour auprès des kangourous, on découvre leur secret, qui n'en est pas un... (Le vrai secret, je vous le rappelle est : pourquoi le kangourou et l'émeu sont-ils sur les armoiries de l'Australie ?)
Il est un peu grand, ce petit, pour être encore dans la poche de sa mère. Encore un ado attardé... C'est bon, on a tout tamponné notre passeport, on peut s'en aller, en faisant un petit tour par la boutique, où Jean trouve un magnifique chapeau de Crocodile Dundee - Joan Collins.
Dommage, il n'a pas pris le chapeau, il aurait dû, il lui va si bien.
On rentre.
On est pris dans les embouts, alors on s'arrête déjeuner. Un déjeuner sain. Healthy, healthy, c'est notre motto. (Je vous avais prévenus, je deviens totally bilingue.)
De belles photos sur la route...
On s'interroge toujours sur le sens du deuxième panneau. Quoi, on ne voit pas les coordonnées ? Bande d'obsédés !
Retour à la maison... Après-midi sur notre plage bétonnée, à Clovelly...
Je dors encore, pendant que Jean prend des photos... mais je me réveille, il fait frisquet et il y a un sacré zef. Alors on rentre et on se fait beau pour le soir, on sort à Oxford Street...
Il n'y aura qu'une photo, parce que mon appareil est tombé en panne de batterie. On va dans un bar où le videur me refuse l'entrée de la salle du bas où une drag queeen déguisée en Amy Winehouse fait son numéro... sous prétexte que je suis en sandales. Des Louboutin by Camper, tout de même ! Alors qu'il y a de types en short et baskets pourries. Tout ça, c'est une excuse, c'est parce que je suis une fille. On va boir un Cosmo au bar de l'étage. Pas terrible, le Cosmo. Trop sucré. Et retour à la maison. En voiture. La ville n'a plus aucun secret pour moi, plus besoin de plan, je peux aller où je veux. Trop bien.
Et pour les obsédés... une petite photo avec les coordonnées du Dr Bidule qui fait durer le sexe plus longtemps, en solution nasale.
On a vu les mêmes ici, en Nouvelle-Zélande. Mais le numéro n'était pas le même, essayez déjà avec celui-là...