J'ai tout perdu
Et ça m'énerve ! Je venais - en à peu près 1 heure - de charger 4 photos, et tout a disparu de mon écran.
Alors, bon, ça y est, c'est comme ça qu'on sait qu'on est de retour en Australie... son Internet pourri !
Merci à Véronique et Bertrand qui m'ont amenée à Roissy, son aérogare 1 si accueillante, paysage bucolique et champêtre... Pourquoi vouloir quitter un si charmant environnement ? Regardez en bas de la page, si je réussis à la finir, et vous le saurez.
En même temps, je ne sais pas si j'aurai la patience de la finir avant l'année prochaine.
Alors, on enregistre nos bagages, même pas de surpoids, et on file au MacDo, un peu de junk food avant de partir, ça fait pas de mal. Et direction satellite 3 pour embarquer dans notre avion. (En même temps, je vous dis satellite 3, mais je m'en souviens plus, si ça se trouve c'était 5 ou 1 ou autre chose, mais on s'en fiche un peu.)
On attend l'avion, en admirant les hôtesses très bien habillées, très jolies, les stewarts, moins jolis, le commandant, etc.
Et on prend en photo le Boeing qui sera notre maison pendant 12 h 30, pour le comparer à l'autre avion que l'on prendra ensuite pendant 7 h 30, l'A380, qui sera forcément mieux.
Je n'en puis plus de cette page. En même temps, c'est à l'image du voyage, un peu long. Pourtant, on a un écran individuel avec 100 films, des tas d'émissions de télé, de jeux, etc. On regarde des bêtises, chouette ! Et aussi notre plan de vol.
Oh que c'est joli, on voit où il fait jour, où il fait nuit... Et on arrive à Singapour, pas le temps de sortir de l'aéroport, à peine deux heures de battement entre les deux avions. On peut un petit peu sortir sur une espèce de terrasse fumer une cigarette et sentir la chaleur humide écrasante...
Eh non, ce n'est pas l'A380, on ne l'a pas vu. Et il a deux étages, l'A380. Nous, on est à l'étage, d'ailleurs. Je vous l'ai déjà dit, je crois, à moins que ce soit dans la page qui s'est effacée, saloperie. On ne voit pas l'avion de l'extérieur, mais on a le plan des sièges pour s'occuper pendant l'attente (et aussi Internet, ce qui m'a permis de faire quelques mots au Scrabulous)...
Et nous, on était donc à l'upper deck, places 75 E et D (je crois, ou 72...) Et comme on n'a pas pu photographier l'avion de l'extérieur, une petite photo d'à quoi ressemble la bête.
On m'avait demandé (Florence, Andy, Caroline, Thomas notamment) de photographier l'A380 sous toutes les coutures. J'obéis. Ça mitraille... On monte ! En traversant la Business class... pas la nôtre !
On s'installe, mais si vous avez bien tout suivi en vous abîmant les yeux sur le plan de l'avion, on n'est pas près d'un hublot. On ne verra pas l'avion, encore une fois. Mais comme tous les passagers ne sont pas encore montés eu qu'il reste des places vides, on prend des photos de nous, en touristes accomplies.
Nous, on est là, au milieu. Les sièges sont plus larges, dans cet avion. Et c'est pas dommage, je suis à côté d'une obèse qui déborde sur mon siège. Et sur mon accoudoir. Des petits coups de coude discrets pour la repousser agrémentent le voyage.
Des photos de tout l'avion, y compris des toilettes, m'a-t-on demandé. Grave erreur ! Je le fais, toilettes sous toutes les coutures. Nous, on voit pas bien la différence avec un autre avion, mais il y en a sûrement une.
C'est vraiment très intéressant.
Et donc, on est à l'étage... il y a un escalier pour aller à l'étage du dessous. Le voici.
Là encore, du reportage fascinant. Bon, on arrête là les photos de l'A380.
Une petite dernière pour la route... On arrive à Sydney, et en sortant de l'avion, on entraperçoit un petit morceau de l'extérieur. Voilà, c'est fini pour le gros avion. On passe la douane, Karine cette année encore reconnaît quelques douaniers, on regarde si on voit Glenn, mais non... Karine flippe qu'on lui confisque son thé, mais non, la douanière est gentille, on passe sans souci.
Enfin ! On est quelque peu décalquées, mais arrivées à bon port... Taxi, maison ! Sur la route, la maison, alors un peu bruyante, mais très chouette...
Et au coin de la rue, voilà la vue qu'on a. Pas mal. La plage, cette fois encore, est à moins de cinq minutes à pied. On devrait survivre dans cet univers très hostile. Quoique... il paraît qu'il y a des requins. En même temps, avec Karine qui a peur des vagues et moi qui ne m'aventure pas où j'ai pas pied, on devrait pouvoir s'en sortir.
Notre plage...
Elle est pas mal, notre plage, mais on décide quand même d'aller en pèlerinage à Bondi. Petit brunch au Three Eggs Coffee, où l'on revoit nos amis de l'an dernier qui viennent tout juste de rentrer d'un petit tour du monde de 10 mois. Et on file à la plage avec un ami que l'on s'est fait en terrasse, Roberto, un Italien, comme son nom l'indique.
La plage est pleine de gens bizarres...
On est restées près des sauveteurs, en jaune, les volontaires, en bleu, les pros... Quoi ?! Ceux déguisés en schtroumfs sont des sauveteurs professionnels ? Non, ouf, ceux qui portent un t-shirt bleu. On n'en a pas vu, d'ailleurs, heureusement qu'il y avait la tortue ninja pour nous protéger.
En même temps, Karine ne s'est pas baignée, eau trop froide, trop de vagues, excuses bidons... Elle n'était pas froide du tout, et ça faisait du bien de se tremper, parce qu'excusez-moi d'en rajouter, mais il fait chaud, ici.
On a vu Glenn sur la plage. On aurait pu aller boire un verre le soir au Rats (cf l'année dernière, je ne vais pas tout vous réexpliquer... Rats, Tobrouk, la guerre...), mais on était trop crevées et on est rentrées à la maison. Une grosse demi-heure de marche. Zou.
Enfin, évidemment, on a optimisé la journée. Dimanche, jour du marché à Bondi, dans l'école, rappelez-vous... Et j'ai donc trouvé ma première robe ! Et hop !
Pas vraiment un dos-nu au sens strict du terme, mais au niveau du décolleté, ça le fait. Spéciale dédicace Dominique. (Je te tire la langue !)
Voilà, voilà... Et le 31, on a une fête au coin de la rue, à 5 minutes d'où on habite. Regarder le feu d'artifice depuis un jardin... Pas mal, je vous raconte plus tard, là j'en ai assez ! Et puis en plus, il faut qu'on retourne à la plage, on n'a pas que ça à faire...
Bonne année !!!
PS : On apprécie plus que tout vos petits commentaires... Please !