Rien à dire...
C'est
reparti pour un petit tour, à la demande générale. Je n'ai pourtant pas
grand-chose à raconter, je travaille ! Et il pleut, alors pas vraiment de
plage. Alors c'est que de la routine pas très intéressante, je vous assure.
Attendons Isabelle pour un re-départ du blog de folie.
Ma
routine, je vous l'ai déjà racontée. Je regarde mes mails le matin, les
actualités sur Internet…
Parfois,
je trouve ça bizarre… surtout le classement de cet article en Divertissements.
L'infanticide est devenu un divertissement en mon absence ? On me dit rien, à
moi, à l'autre bout du monde. Zut alors. Non mais oh ! Donnez-moi des nouvelles, aussi !
Ensuite,
je vais petit-déjeuner copieusement dans un bar du coin…
Le
plus souvent, voilà le menu. Pear and raspberry bread, à tomber. J'y vais tous les jours, depuis que j'ai trouvé ce café par hasard. Je lis mon livre en même temps, j'ai
du mal à le lâcher, il est formidable, La
Religion, de Tim Willocks, un régal. Un pavé, un cadeau d'Emmanuelle, merci encore !
Ces petits-déjeuners traînent donc.
Ensuite, suivant mon inspiration, un peu de shopping…
Comme
ces boucles d'oreilles dont je vous ai déjà parlé. Caro, je te les montrerai en
vrai pour que tu m'en refasses, en blanc notamment, merci. Allez, ça te prendra
cinq minutes. Parce que là, il faut l'avouer, on voit pas grand-chose. Elles me font penser à celles qu'on avait vues sur un tableau au marché de Paddington avec Jean il y a deux ans.
Ensuite,
je travaille. Si. Le plus efficacement possible pour être libre quand Isabelle
sera là, et quand je n'aurai plus Internet à portée de main.
Très beau sous-titre, n'est-ce pas ? J'en suis très fière, c'est mon meilleur.
Le soir, parfois, je trouve un animal mort, comme cette pauvre libellule à qui je n'ai rien fait, je vous le jure, j'aime bien les libellules. Les animaux que j'aime bien, voilà ce qui leur arrive, pas juste, les cafards auraient pu tous mourir sans que j'y voie le moindre inconvénient. M'enfin.
Sinon,
parfois, comme samedi après-midi, je me fais belle…
Oui,
je sais, je fais peur, j'ai l'air réjouie comme pas deux. Je vais pourtant voir
des amis. Je montre cette tenue pour Isabelle. Prends ton bustier-pantalon
aussi, on pourra jouer aux jumelles ridicules. J'y vais à pied, sous la pluie
qui n'a pas arrêté de la journée, mais c'est pas loin et j'ai un parapluie.
(Quand je vous disais que je n'avais rien à raconter !)
J'ai
vu Nick, Chrissie et leur fille Kate, toujours souriante, très mignonne. Un
café dans un café bien sympa et nous rentrons tous dans nos pénates respectifs
sous la pluie, la preuve.
Voilà.
Et une autre journée recommence, sur le même rythme. Mais aujourd'hui, c'est ça
que j'ai acheté…
Je
ne pouvais pas faire autrement, la robe coûtait 18 dollars (12 euros, dans le
genre). Impossible de résister, il faut l'avouer. Comme quoi il ne faut pas se
fier à l'allure d'une boutique. Une boutique semblant chère peut être très bon
marché, et une boutique ne ressemblant à rien peut vendre des chiffons une
fortune. C'est pour ça, Olivier, qu'il faut rentrer dans toutes les boutiques,
sache-le.
Et
ce soir, cinéma.
Je
n'ai pas vu un film français, mais Up in
the air, j'ai bien aimé. George a pris un sacré coup de vieux, je trouve.
L'actrice qui joue sa copine, Vera machin-chose, est sublime. Hyper-classe.
Voilà.
Je déménage bientôt, je vous tiens au courant, mais d'ici là, il peut se passer
des choses, j'ai des fourmis dans les jambes et j'ai vraiment été très efficace
dans mon travail… Et peut-être que les aventures de George et Vera m'ont donné
des idées. Suspense…